Ces dernières semaines ont été un temps lié à l’écriture. La première mouture de mon dernier roman est terminée. Une histoire que je vais laisser « décanter » un peu avant le long travail de relecture et de correction à venir. Un peu de recul nécessaire pour mieux juger de la qualité de l’intrigue, qui, à mon sens, demande quelques améliorations. Mais chaque chose en son temps.
L’écriture demeure un bon apprentissage pour apprendre la patience et davantage lorsque une publication pointe son nez après trois années de travail. Ce n’est pas anodin, non plus. Une certaine reconnaissance qui m’a agréablement surprise puisque la finalisation de mon premier roman « Lila » a abouti à une édition aux éditions iPagination. Parution prévue vendredi 2 octobre 2015. 🙂
La frontière est mince entre le travail que je fais en peinture et celui de l’écriture. La fébrilité de la création est la même, je traverse les mêmes doutes, les mêmes exaltations. La plus grande différence réside dans le regard que je porte aux mots que j’écris. Il y a une résonance plus tangible, une observation du monde qui m’entoure plus évidente dans mon travail d’écriture que dans celui de la peinture. Une liberté d’expression qui me parle sans doute davantage et qui pourtant me demande plus de rigueur.
Si aujourd’hui l’écriture prime sur la peinture je ne peux envisager d’arrêter l’une de ces formes d’expression pour privilégier l’autre.
La complémentarité est l’essence de mon inspiration.
que je te comprends Laurence! je ne peux dissocier les mots de mes photos 😉
l’un inspire l’autre…..et vice versa 🙂
je retiens la parution pour demain…..curieuse que je suis!
belle journée *d’avant* à toi 🙂
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C’est cela ! Ils sont également profondément ancrée dans ma vie, comme une évidence de qui je suis.
Merci beaucoup Malyloup.
J’aime bien ta curiosité 😉
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