
« On se prend à rêver
Que les mots ne sont pas
A l’aval de ce fleuve, fleuve de paix,
Trop pour le monde. »
Yves Bonnefoy : Recueil Les planches courbes (Gallimard poésie – Mai 2003)
« On se prend à rêver
Que les mots ne sont pas
A l’aval de ce fleuve, fleuve de paix,
Trop pour le monde. »
Yves Bonnefoy : Recueil Les planches courbes (Gallimard poésie – Mai 2003)
Je ne suis pas sûre de comprendre le sens profond de ce poème mais les questions qu’il soulève me plaisent bien (mots en aval ou en amont ? où coule ce fleuve de paix, et pourquoi est-il « trop » ?).
Merci en tout cas pour ce poème très dense !
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Ah, l’interprétation de la poésie… 🙂
Moi j’y entends un flot différent, notamment dans le « trop pour le monde » que je relie avec « que les mots ne sont pas »
Merci beaucoup pour ce retour Marie-Anne !
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Oui, les interprétations varient selon les points de vue 🙂
Merci Laurence d’avoir partagé ce poème.
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C’est beau et apaisant! Une doux moment de sérénité.
Merci Laurence pour ce partage
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Merci à toi Marie.
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Merci d’avoir partagé cet extrait de poème si apaisant.
Belle journée.
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Merci à toi, La Plume.
Très belle journée également
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Très beau, très sensible, paisible… Merci Laurence
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❤
Merci à toi, les belle sources.
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