
Jusqu’à envahir les rues
Je déplore (déjà) l’air gorgé de silence
mais je bois ta présence
et la fragilité se plait à élargir la résistance
Jusqu’à envahir les rues
Je déplore (déjà) l’air gorgé de silence
mais je bois ta présence
et la fragilité se plait à élargir la résistance
C’est comme une mélodie, une danse, je lis et je relis tellement c’est beau Laurence.
Merci
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Merci à toi Marie.
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Bois, résistes et le silence, il deviendra encore plus précieux à ceux qui savent l’apprécier.
Pour moi, qui n’ai pas souffert de cette parenthèse, je remercie la vie de me l’avoir offerte. Peut-être, est-ce maintenant que la fragilité va m’accompagner alors que la présence est encore une histoire de distance.
Plein de bonnes choses à toi Laurence pour ces temps à venir.
Bises
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Résister, oui et persévérer à croire à des lendemains meilleurs, même (et surtout) quand je ne comprends pas le monde dans lequel on vit…
Merci de tes mots Val. Je ne doute pas un instant que toi, tu sortes enrichie de cette parenthèse.
Bises à toi aussi.
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En regardant ce tableau, j’ai la sensation que ton esprit a quitté ton corps et que tu as une vision de notre Terre comme si tu te trouvait au-dessus d’elle.
Les nuages ont remplacé les gens qui déambulent d’habitude dans les rues mais, gardons espoir car bientôt l’air sera peuplé de sons et non plus de silences assourdissants.
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Cela est touchant, merci.
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