Photo Lucile Duneau-Délis
Quand au soir le soleil incendie le feuillage et la lande paisible
et tous les murmures feutrés du jour qui disparait
j’entends à l’heure des frôlements
et des torrents d’écume
le passage du vent qui chante l’ivresse de la mer
la terre en poursuite d’aventures sauvages
le bonheur ample du silence des hommes
Ton texte est très beau. Il m’a touché, ému. Pour la photo, j’aurais pu songer moi aussi à la Bretagne mais j’ai vu que c’était les Landes. C’est inspirant et fort joli ! Merci Laurence, belle après midi à toi 🙂🌞
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Frédéric.
Belle après-midi à toi aussi
J’aimeAimé par 1 personne
Mots et photo sont superbes. Ils m’entrainent à leur suite sur des rives paisibles et discrètes.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci beaucoup Marie !
J’aimeJ’aime
Comme tout le monde a dit bien mieux que je ne le ferais sur ton texte, un petit mot pour la très belle photo de Lucile, j’aime beaucoup cette lumière qui s’accroche dans l’ombre, discrète et pourtant vaillante encore qui raconte aussi le silence des hommes. Merci à toutes les deux.
J’aimeAimé par 2 personnes
Merci beaucoup Alma.
J’ai fait lire à Lucile ton petit mot qui s’en est trouvée toute émue.
J’aimeAimé par 1 personne
ça marche aussi avec tes premiers mots :
Quand au soir
et tous les murmures
j’entends
des torrents d’écume
le passage du vent,
la terre en poursuite,
le bonheur ample.
(découpage innocent qui démontre la force de ton écriture ; avec les trucs plats et redondants, la pâte ne prend pas)
J’aimeAimé par 3 personnes
Eh bien faut-il encore savoir en sortir le levain. Ce que tu fais fort bien 🙂
Merci Carnets
J’aimeAimé par 1 personne
« La parole naît du silence qui seule l’y autorise. »
Avec ton texte, on ressent cette quiétude lorsque l’on fait silence et que l’on entend cette nature vivre autour de nous.
J’aimeAimé par 3 personnes
Oui, c’est bien cela. Contente que tu le perçoives
Merci beaucoup pour ton retour John
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Laurence
Bon après-midi
J’aimeAimé par 1 personne
Très jolis mots qui me touchent d’autant plus que je suis en manque de mer, de vagues, de vent, de sable, de rochers, bref de Bretagne mais aussi de toutes les mers ou océans. Bonne journée Laurence
J’aimeAimé par 2 personnes
Ecrire, c’est un peu combler le manque.
Merci Marie.
Bonne journée à toi aussi
J’aimeJ’aime
Merci pour ce très beau poème, Laurence ; joueur, je n’en regarde que les derniers mots et un autre (le même ?) poème apparait :
Lande paisible
qui disparait
des frôlements
d’écume :
la mer.
Aventures sauvages
des hommes.
J’aimeAimé par 4 personnes
J’aime beaucoup quand tu joues ainsi, tout semble alors possible 🙂
Merci Carnets
J’aimeAimé par 2 personnes
tout est possible car tu l’as écris, lumineux et riche : il suffit alors reprendre tes mots et de les regarder jouer 🙂
J’aimeAimé par 1 personne
Très beau texte Laurence qui me parle bien entendu et la photo m’évoque la grande plage sauvage de sainte Marine dans le Finistère
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Alan.
La photo a été prise à Molliet-et-Maa dans Les Landes.
Un jour, peut-être irai-je à la découverte du Finistère 🙂
J’aimeAimé par 1 personne