
Après l’aube, le silence entre dans le jour. Les heures paressent encore, à l’abri des noctambules endormis. Le vent vibre dans les cimes des pins maritimes, le jour s’aventure, vagabond ; bleu comme l’été, animé de lumière et de feu.
On pourrait croire le monde à la lisière de deux mondes et, le ciel à notre portée, dans cet équilibre parfait qui chemine entre les racines. J’entends courir la promesse des fleuves à travers la terre et tous les chemins secrets épousant le paysage.
C’est beau, c’est bleu ce que tu as écrit 😉 belle journée à toi !
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Merci Sabrina !
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Exquis! Merci, Laurence.
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Merci à toi, Vève.
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Vienne aussi la promesse des rivières dans cet équilibre des chemins secrets, épousant. On pourrait croire alors nos deux mondes, nos racines.
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Ce qui est merveilleux, c’est de plonger les pieds dans le ciel… de brasser ces paysages avec les mains amoureuses 🙂🤍
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❤
Oui, aussi 🙂
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