les nuits ont encore un parfum d’hiver caresses de fraîcheur et de figues sèches à travers la course du fleuve et les montagnes blanches du sillage de brume aux notes piquantes le silence froissé de l’aube penche vers la mer la mer comme la forme de l’eau épouse la terre et sillonne les traverses du temps se nourrir du chant de l’eau comme on s’apaise face à la mer

Et voilà : mise en regard… B)
http://niak65poletique.canalblog.com/archives/2022/04/13/39433728.html
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Ce promenade fluviale ne manquera pas de trouver un prochain écho, dans mes ‘Alluviales’.
A très bientôt plus vite que ça, donc, très chère Lau’.
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C’est très beau.
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J’aime beaucoup le titre de ce poème. Il a quelque chose de spécial. Et avec l’image, ils forment un bel ensemble. Bonne nuit Laurence.
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La mer apaise, la mer lave la tête et les blessures, elle est force et b eauté
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Belle poésie, fraîche, apaisante comme de l’eau sur un visage. Merci!
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La forme pousse! L’Ô épouse: je ne t’erre plus!
Les sillons traversent le temps
Se nourrir, Duchamp? d’Ô (douche)
Come on, ça pèse ! Face à l’amer
Décidément, votre bleu victoire (le nirvana de votre tableau) et vos mots chipés inspirent! 🙂
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