Au corps à corps de nos corps, tu peuples chaque manque
Et l’hiver se fait moins froid.
Écoute,
Au son des cordes du oud
La nuit s’ensoleille et les murs lézardés s’éclairent.
Entends nos cœurs battre fou,
Exquis de l’ivresse première et de la caresse originelle
On tend vers l’élasticité charnelle.
Immortels.
Vois,
La danse qui chante et frémit au creux de nos désirs
Musique de nos souffles imprégnés de nos corps libérés
Chavirent nos sens.
Comme la lecture de ton corps est belle,
Belle de l’avenir à lire,
Belle des livres à venir dans la malle aux livres.
Au corps à corps de nos corps, tu peuples chaque manque
Et l’hiver est moins froid.
Et là, au crépuscule venu,
Apaisé,
Te regarde, endormie.
Une petite plume mêlée dans ta chevelure.
Sous la houlette d’EMILIE, Les plumes d’Asphodèle reviennent. Quatorze mots à placer : LEZARDER DUR LIVRE S’IMPREGNER CORPS ELASTICITE ENSOLEILLE APAISER PLUME MANQUE MOINS MALLE GUITARE BILBOQUET.
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