Même le plus long des voyages commence par un premier pas.
Lao Tseu

Peinture acrylique sur carton, encres couleur, pastels à l’huile
Format 29 x 39.5
Même le plus long des voyages commence par un premier pas.
Lao Tseu
Peinture acrylique sur carton, encres couleur, pastels à l’huile
Format 29 x 39.5
Le véritable voyage, ce n’est pas de parcourir le désert ou de franchir de grandes distances sous-marines, c’est de parvenir en un point exceptionnel où la saveur de l’instant baigne tous les contours de la vie intérieure.
Antoine de Saint-Exupéry
peinture acrylique sur carton, encres couleur, pastels à l’huile
Format 40 x 50
Je suis voyageur et navigateur. Et tous les jours je découvre, un nouveau continent dans les profondeurs de mon âme.
Khalil Gibran
Peinture acrylique, encres couleur, pastels à l’huile, feutre sur papier
Format 28.5 x 39
J’ai trouvé mon île au trésor. Je l’ai trouvée dans mon monde intérieur, dans mes rencontres, dans mon travail.
Hugo Pratt
Peinture acrylique, encre couleur, pastel à l’huile, feutres sur papier
Format 28 x 39 cm
« Il y en a qui ont le cœur si vaste qu’ils sont toujours en voyage. » Jacques Brel
Peinture acrylique, encres couleur, feutres sur papier cartonné
Format 40 x 50
« Chaque voyage est le rêve d’une nouvelle naissance. » Jean Royer
Peinture acrylique, encres couleur, feutres
Format 46 x 38
« Le voyage c’est aller de soi à soi en passant par les autres » Proverbe Touareg
« La fin d’un voyage est seulement le début d’un autre ». José Saramago
Peinture acrylique, collage papier, Posca
Format 40 x 70
« Le voyage est une espèce de porte par où l’on sort de la réalité comme pour pénétrer dans une réalité inexplorée qui semble un rêve. » Guy de Maupassant
Format 20 x 20
Acrylique, feutres Posca
« Je n’ai pas besoin d’aller plus loin. Maintenant je sais que je suis enfin arrivée au bout de mon voyage. C’est ici, et nulle part ailleurs. » JMG Le Clezio
Peinture acrylique, feutres Posca, stylo
Format 30 x 40
Détails du tableau
« Le vrai domicile de l’homme n’est pas une maison mais la route, et la vie elle-même est un voyage à faire à pied » Bruce Chartwin
Peinture acrylique,encre couleur, feutres aquarelle, Posca.
Format 40 x 50
Selon le sens donné au tableau, le voyage prend une autre forme
« Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux » M.Proust
Peinture acrylique, feutres, stylo
format 30 x 40
Détails du tableau
« Voyager ne sert pas beaucoup à comprendre mais à réactiver pendant un instant l’usage des yeux : la lecture du monde. » Italo Calvino
Acrylique, feutres Posca, stylo
20 x 40
Détails du tableau.
Acrylique, collage papier, feutres Posca
50 x 70
Pour mieux voir les détails cliquez dessus
« Peindre c’est écrire avec la lumière, affirmait Salva. Tu dois d’abord apprendre son alphabet puis sa grammaire. Alors seulement tu pourras maîtriser le style et la magie. » Carlos Ruiz Zafón. Mathilda
« Je voyage silencieux dans un monde sans bruits, et dont je garde en moi les couleurs, depuis ces jours de ma jeunesse. » Adrien Goetz – La dormeuse de Naples
Acrylique, feutres Posca, stylo
30 x 40
Détails du tableau
Merci pour le titre, Alma 🙂
Quand la Lune trouble la Terre,
Les marées s’étirent
Jusqu’à l’horizon
Où la lumière
Cillent les flots d’argent
On est alors au début du monde,
En bordure de jour et de la nuit,
Là où sans bruit, sans heurt
Une petite perle d’éternité
Glisse sur le temps
C’est avant l’obscurité, quand en retour la Terre chuchote :
« De deux choses lune, l’autre c’est le soleil ».
Et tout l’univers d’approuver bien sûr
Et les hommes – microscopiques ‒, un jour peut-être, la conscience éveillée,
Cesseront enfin de se mirer dans les simulacres
Pour apprécier le manifeste renouvelé.
En juillet l’agenda ironique prend ses quartiers chez Louise Mathurinades et coquecigrues. On y parle de la lune comme on veut avec pour seule contrainte d’insérer une expression française comportant le mot lune. J’ai un peu biaisé avec l’expression française pour une citation de Jacques Prévert piochée dans « Le paysage changeur » Paroles (1946)
Les autres textes lunaires à découvrir ICI
Crédit photo : Pinterest
« Il n’y a pas d’enthousiasme sans sagesse, ni de sagesse sans générosité », (Paul Eluard)
L’ébauche de ma prochaine toile, loin d’être définitive, est un fouillis à l’image de tout ce que j’ai en tête actuellement. C’est que la réécriture de mon roman monopolise beaucoup de mon temps et génère parfois un certain découragement. Toutes ces heures. Ces heures denses troublées d’hésitations et de solitude.
Aujourd’hui je me suis accordée quelques petits moments pour peindre. De ces instants peints sont nés de véritables espaces libérés. Des bouffées d’oxygène, un retour à l’équilibre. Plus j’avance dans l’existence, moins je distingue de différence entre écrire et peindre. Deux formes d’expressions devenues aussi essentielles l’une que l’autre. Nourrissant mon enthousiasme démesuré et générant tout autant la quiétude à laquelle j’aspire.
Quelques détails de l’ébauche en cours
Acrylique sur toile, collage papier
« On se prend à rêver
Que les mots ne sont pas
A l’aval de ce fleuve, fleuve de paix,
Trop pour le monde. »
Yves Bonnefoy : Recueil Les planches courbes (Gallimard poésie – Mai 2003)
C’était un matin du mois de février, ça s’est passé si vite que j’ai eu du mal à réaliser la singularité des choses avant le soir. La journée était belle. Gelées matinales très vite balayées par un soleil hivernal généreux. Les mimosas croulaient sous les fleurs et parfumaient le petit vent. Au bout de la rue il y avait cette trouée, on aurait dit une grande fenêtre ouverte qui se haussait au-dessus du sol. Un petit nuage flottait à l’intérieur, celui de Magritte ai-je pensé avant de voir Alice courir après le lapin blanc. Quoiqu’à la réflexion c’était le lapin qui courait après Alice, et Lewis Caroll, suivait, s’arrachant les cheveux et maugréant contre la jeunesse qui n’en faisait qu’à sa tête. Moi, serviable, j’ai demandé en enjambant la fenêtre oh, Lewis, t’as besoin d’aide ? mais le bougre était déjà sorti du cadre. Enfin c’est ce que j’ai cru, mais en y regardant de plus près j’ai vu au bout de la rue, cette trouée. On aurait dit une grande fenêtre ouverte qui se haussait au-dessus du sol. Un petit nuage flottait à l’intérieur, celui de Magritte ai-je pensé avant de voir Alice courir après le lapin blanc. Quoiqu’à la réflexion c’était le lapin qui courait après Alice, et Lewis Caroll, suivait, s’arrachant les cheveux et maugréant contre la jeunesse qui n’en faisait qu’à sa tête. Moi, serviable, j’ai demandé en enjambant la fenêtre oh, Lewis, t’as besoin d’aide ? mais le bougre était déjà sorti du cadre. Enfin, c’est ce que j’ai cru mais en y regardant de plus près j’ai aperçu Lewis en pêcheur de nuage lever haut sa canne vers le ciel pour tenter d’attraper le nuage de Magritte. Alice était si loin qu’elle ressemblait à un point bondissant vers l’horizon. Le lapin, les oreilles tombantes, ahanait, couché aux pieds de Lewis. Boum, boum, boum ! boum, boum, boum ! faisait son petit cœur affolé. Sa montre avait l’air tout aussi essoufflé, ai-je constaté en voyant les heures tourner trop vite. A présent c’est moi qui m’affolais de la course à venir. Allais-je arriver à temps ? 22h 22 c’était beaucoup trop tôt pour trouver une idée. Et puis j’ai levé les yeux et j’ai vu cette trouée, on aurait dit une grande fenêtre ouverte qui se haussait au-dessus du sol. Un petit nuage flottait à l’intérieur, celui de Magritte ai-je pensé avant de voir Alice courir après le lapin blanc. Quoiqu’à la réflexion c’était le lapin qui courait après Alice. Lewis Caroll, lui, avait lâché l’affaire. Il voulait remonter le temps, trouver comment l’absurde pouvait se doter d’imagination en si peu de temps. Moi, pendant ce temps, je me suis hissée sur le bord de la fenêtre. Je crois que j’aurais pu me laisser aller à suivre les courants ascendants, fragile, fragile dans l’espace-temps. J’aurais pu, mais Lewis a stoppé mon élan, il m’a dit, attends, attends je crois que je me souviens, il a dit, c’est tout simple, j’aurais dû y penser avant même de commencer à écrire Les Aventures d’Alice. Alors piquée de curiosité j’ai demandé, Quoi ? C’est quoi ? Et lui, de me répondre, tout sourire : « Le meilleur moyen d’éviter la chute des cheveux, c’est de faire un pas de côté. »
Agenda ironique, agenda onirique et rêve absolu nous propose Martine avec seule contrainte la phrase de Groucho Marx à placer à la fin du texte.
Avis aux lecteurs : texte écrit à l’arrache et sans filet ! 🙂
Magnifique monde et La Victoire : René Magritte. (1898-1967)
De retour sur les réseaux sociaux après un temps de vacances à respirer les senteurs d’iode, de résine et d’immortelles, je vous propose pour l’agenda ironique que j’accueille avec plaisir en d’août : « Raconte, raconte tous les miracles qu’il y a eu ici aussi ».
Voilà une citation tirée du roman Jules et Jim de Henri-Pierre Roché lue sur le blog Du Jaune sur les Cils qui m’a paru ouverte à une multitude d’interprétations.
De cette phrase le sens restera libre, large comme les océans, et pourra être décliné comme bon vous semble, en prose, poésie, haïku, tangua, ou pourquoi pas photos, collages, dessin… La création n’a pas de limites et sa richesse inépuisable 🙂
Seule contrainte la phrase citée devra apparaître dans votre texte ou toute autre création choisie.
Puisque mon absence a retardé un peu l’agenda de ce mois estival, vous avez jusqu’au mercredi 23 Août pour laisser en commentaire le lien de votre participation. Et du 24 au 30 pour lire ou relire et voter.
Bonne inspiration !