Comme les flots errent vers les terres
dans l’hiver brisé par ton départ
ce chagrin qui cogne
au méandre d’un souvenir
j’écoute le chant des montagnes
qui roule vers l’intimité de la mer
tu disais
d’aussi loin que tu vis
entends-tu les vagues
courbes de vie et remous d’argile
tracés d’air et de vent
de fragiles limons
il demeure ce lien sans limite
qui nous enlace dans l’invisible
Magnifique ! 💙
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ce bleu du monde
et des jours…
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❤
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💖💖💖
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Merci Francine.
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🙏 🫶 😙
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Merci Maly 💙
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La Garonne telle que je la vois tous les jours ne ressemble malheureusement pas à ta photo, elle est bien plu sèche 😏. Par contre, ton poème est superbe.
Saint lys n’est pas loin de chez moi 😉.
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J’ai pris la photo aujourd’hui. Ici, elle est à fleur de rive. C’est fou que ça soit si différent d’une ville à l’autre.
Merci pour ton retour Isabelle. 🙂
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très doux ce témoignage. J’ai écrit quelque chose d’approchant au départ de mon âme sœur… les mots sont un tel exutoire ! Merci Laurence
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❤
Merci Hélène.
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Très beau et très émouvant
Merci Laurence
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Merci Barbara.
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