Le coeur des arbres

Parce que sous la surface le monde palpite en formation de ténacité

On ira écouter la mer à travers le chant des rivières

Et courir dans les plis du vent comme au premier jour

Et dans le battement sourd de la sève et de l’écorce palpitante

Alors que s’endort la terre en murmures d’hiver

La main en pause comme une caresse dans l’estime et l’attention

On étreindra le cœur des arbres

Et dans l’intervalle le chant des étendues sauvages

Ouvrira nos vastes résistances

A l’élan de toutes nos différences

23 réflexions sur “Le coeur des arbres

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